Il y a quelques années, j’avais envoyé des vœux qui sortaient de cet ordinaire que personne ne lit…
Une courte phrase d’accompagnement expliquant que j’étais disponible pour travailler, les vœux n’étant qu’un prétexte, et cette citation :
« Le temps est trop lent pour ceux qui attendent, trop rapide pour ceux qui ont peur, trop long pour les affligés, trop court pour ceux qui se réjouissent, mais pour ceux qui s’aiment, le temps c’est l’éternité. »
– Henry Van Dyke –
J’ai su plus tard que la Directrice de Cabinet (que je ne connaissais pas) à qui étaient destinés ces vœux fut « choquée ».
Il est vrai que de nos jours, on se choque quand ça arrange…
Je n’ai donc jamais travaillé à cet endroit et j’en suis ravi.
Comment aurais-je pu fréquenter chaque jour quelqu’un ne comprenant pas le sens de ces mots ?